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Christophe GIN

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  • Saint-Laurent du Maroni, Guyane, 2015.<br />
<br />
Quartier du bac international, point de ralliement des taxis collectifs ou privés, légaux ou pas. Passage de marchandises en provenance  d’Albina, sur la rive surinamaise du fleuve.<br />
A Saint-Laurent, on prend la pirogue pour aller faire ses courses au Suriname. Pas besoin de visas pour se rendre à Albina  de l’autre côté du fleuve.<br />
<br />
Sous-préfecture, Saint-Laurent du Maroni est la deuxième plus grande ville de Guyane, située près de l’embouchure du Maroni à 253 km à l’ouest de Cayenne, face à la ville surinamaise d’Albina. La première activité de type industriel de Saint-Laurent est liée au commerce de l’or entre 1880 et 1888, mais la ville reste célèbre pour être devenue l’implantation principale du bagne en 1880, lorsqu’elle devient commune pénitentiaire. Aujourd’hui, Saint-Laurent est surtout perçue comme la porte d’entrée du Maroni sur le littoral.<br />
<br />
L’économie formelle de Saint-Laurent, prédominée par la fonction publique, est marquée par un taux de chômage qui touche près de la moitié des actifs et les résidents en situation administrative illégale représentent près du quart de la population. Un secteur économique « informel » et très dynamique s’y est développé, naturellement tourné vers le fleuve.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
<br />
Comptoir d'achat d'or. Oiapoque est avant tout une ville de passage pour les garimpeiros bresiliens qui viennent chercher du travail sur le sol guyanais et sert de base d'approvisionnement a cette activite clandestine. L'or qui circule ici vient a 90 % de Guyane, seuls 2 des comptoirs d'achat d'or d'Oiapoque sur plus d'une dizaine, beneficient d'une autorisation de la banque centrale bresilienne. Quand les militaires francais investissent une zone d'activite clandestine guyanaise, l'economie d'Oiapoque s'arrete. <br />
<br />
Cette ville champignon, base d'orpaillage pour l'activite clandestine, profite depuis 2003 de l'achevement d'une route qui permet une liaison directe de Cayenne a St Georges, sur la rive guyanaise opposee.<br />
<br />
La construction d'un pont devrait prochainement permettre le passage du fleuve oyapock et relier le Bresil au departement francais.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
<br />
Oiapoque est avant tout une ville de passage pour les garimpeiros bresiliens qui viennent chercher du travail sur le sol guyanais et sert de base d'approvisionnement a cette activite clandestine. L'or qui circule ici vient a 90 % de Guyane, seuls 2 des comptoirs d'achat d'or d'Oiapoque sur plus d'une dizaine, beneficient d'une autorisation de la banque centrale bresilienne. Quand les militaires francais investissent une zone d'activite clandestine guyanaise, l'economie d'Oiapoque s'arrete. <br />
<br />
Cette ville champignon, base d'orpaillage pour l'activite clandestine, profite depuis 2003 de l'achevement d'une route qui permet une liaison directe de Cayenne a St Georges, sur la rive guyanaise opposee.<br />
<br />
La construction d'un pont devrait prochainement permettre le passage du fleuve oyapock et relier le Bresil au departement francais.
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  • Bresil, Oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
<br />
Oiapoque est avant tout une ville de passage pour les garimpeiros bresiliens qui viennent chercher du travail sur le sol guyanais et sert de base d'approvisionnement a cette activite clandestine. <br />
La construction d'un pont devrait prochainement permettre le passage du fleuve oyapock et relier le Bresil au departement francais.
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  • Trois jours après les parades, un bonfire fume encore, Belfast centre ville.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
<br />
Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
<br />
Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Guyane française, Maripasoula, Haut-Maroni.<br />
<br />
Pole economique du Haut-Maroni pour certains, tiers-monde de la republique pour d'autres. <br />
Plus vaste "commune" de France : 3 600 habitants sur un rayon de 150 km, coincee entre la foret amazonienne et le Maroni, fleuve frontiere du Surinam. A l’exception des services departementaux et municipaux, l'orpaillage avec ses metiers derives represente la seule source d’activite. <br />
Maripasoula marque la limite entre le pays bosch (1) et le pays amerindien Wayana.<br />
L'approvisionnement vient du Surinam, sur la rive opposee ou des villes du littoral, St Laurent ou Cayenne.<br />
<br />
(1) Pays boni. Majoritaires sur le fleuve, les Bonis ou Bushinengues - composes de quatre ethnies, les Alukus (a Maripasoula), les Djukas (plus au nord), les Paramakas et les Saramakas - sont des Noir marrons descendants d'Africains ayant vecu en autarcie dans la foret amazonienne, de chaque cote du Maroni.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Mercado municipal, halle du marche construite d'après les plans de Gustave Eiffel en 1882. En 2010 Manaus constitue le troisième pole industriel du pays. La municipalite organise la restauration du marche pour accueillir la prochaine coupe du monde de football.
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  • French guiana, St Georges, frontiere franco-bresilienne.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Quartier du port. Igarape dos educandos.
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  • Manifestation catholique contre l'usage des plastic-bullet anglaise, City Hall, Belfast.
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  • Ardoyne, quartier catholique, Nord-Belfast.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Entree dans la favela de Sao Raimundo. Le courant du fleuve accumule ici les dechets rejetes dans les eaux du port.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Igarape dos educandos.
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  • Des femmes protestantes acclament la parade du Twelfth, Belfast.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Igarape dos educandos, favela.
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  • Brésil, Amazonas, rio Negro, Manaus.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Quartier du port. Recuperation, cet homme ramasse les cannettes en fer pour les vendre au poids.
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  • French guiana, St Georges, frontiere franco-bresilienne.<br />
  <br />
Separee du bresil par le fleuve oyapock, St Georges est un des gros points de passage de l'immigration clandestine entre les 2 pays. Le bourg a su en tirer parti et l'economie souterraine a largement profitee a ses habitants. Creoles, amerindiens et bresiliens s'y cotoient.<br />
<br />
Une route ouverte en juin 2003 permet de relier Cayenne. Quelques taxis officiels font la navette sur la piste qui ne desemplit pas de 4x4 clandestins ou s'entassent les ouvriers bresiliens a la recherche de travail sur le sol guyanais.<br />
La construction d'un pont devrait prochainement permettre le passage du fleuve. L'etat francais entend maintenant controler cette frontiere jusqu'ici permeable. Outre les renforts de gendarmerie, la legion et les fonctionnaires des douanes, 60 membres de la PAF (police de l'air et de frontieres) vont y prendre leur fonction en 2006.
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  • Brazil, oiapoque, amapa.<br />
<br />
Transport de bœufs. Grignotee par la culture du soja et les elevages bovins, l'amazonie bresilienne aurait perdu 16,3% de sa superficie forestiere depuis les années 1970.
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  • Ballymurphy, quartier catholique, Ouest-Belfast. La campagne pour le référendum est omniprésente dans les ghettos.
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  • Quartier catholique, Est-Belfast.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Dockers sans abris.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Place de l'opera, detail du sol.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus.
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  • Brazil, Amazonas, Eldorado do Juma.<br />
<br />
Grota velha, curutela (camp de base).<br />
Eldorado do Juma est maintenant un bidonville de plastique noir et de misere croissante sur la rive du fleuve, qui attire les prospecteurs. Des centaines d'hommes y creusent la boue sur leurs petites parcelles delimitees par des branchages et des ficelles. A la fin du jour, les plus chanceux auront trouve quelques poussieres d'or, vendues ensuite 40 reals le gramme (14,5 euros) a Apui, 65km au nord. Les plus riches du coin sont ceux et celles qui cuisinent, nettoient ou divertissent les mineurs.<br />
Dans ce camp on denombre plusieurs restaurants, des epiceries, deux discotheques, quelques bars ou les demoiselles soulagent les hommes, deux pharmacies et une loterie dans laquelle on peut venir miser le gain de la journee.
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  • Brazil, Amazonas, Eldorado do Juma.<br />
<br />
Grota velha, curutela (camp de base).<br />
Eldorado do Juma est maintenant un bidonville de plastique noir et de misere croissante sur la rive du fleuve, qui attire les prospecteurs. Des centaines d'hommes y creusent la boue sur leurs petites parcelles delimitees par des branchages et des ficelles. A la fin du jour, les plus chanceux auront trouve quelques poussieres d'or, vendues ensuite 40 reals le gramme (14,5 euros) a Apui, 65km au nord. Les plus riches du coin sont ceux et celles qui cuisinent, nettoient ou divertissent les mineurs.<br />
Il y a trop de prospecteurs pour la teneur du filon, du coup les garimpeiros s’eparpillent sur une surface qui couvre plus de 40 hectares.
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  • Brazil, Altamira, Para.<br />
<br />
Le plan de colonisation amazonien commence au debut des années 70.Il prevoit la construction de 2 grandes routes, l'une dans le sens est-ouest, la transamazonienne, l'autre dans le sens nord-sud, la Cuiaba-Santarem. Il est prevu d'implanter le long des 2000 Km de chaque piste des agrovilas regroupant 100 a 300 familles et des agropolis de 3000 habitants.<br />
Deux ou trois agropolis etendues sur une distance moyenne de 140 Km devront constituer des ruropolis.<br />
Trois regions pilotes sont retenues, Maraba, Itaituba et Altamira.<br />
Le sol amazonien est brade, mais en depit d'une propagande omnipresente, la colonisation est un echec. <br />
Avec l'arrivee au pouvoir du dernier president militaire, a partir des années 80 la politique du developpement par la mine succede a celle du developpement par le boeuf. La croissance des pays industrialises entraine alors une augmentation de la demande en minerais. Les bidonvilles de western tropical fixent durablement les garimpeiros le long des filons de l'amazone et de ses affluents. Ce type de developpement sert maintenant de modele aux compagnies forestieres qui s'engouffrent dans l'exploitation du bois amazonien. Les pionniers de l'eldorado survivent aujourd'hui en autarcie autour des agrovilles du projet de colonisation.
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  • Brazil, gurupa, para.<br />
<br />
Scierie. Les scieries plus ou moins legales se succedent au bord des fleuves pour faciliter le transport des grumes de bois jusqu'a l'embouchure de l'amazone. Elles deviennent le point d'encrage des communautes qui dependent de cette activite. L'etat du Para a subi les plus graves impacts de cette exploitation forestiere. Dans les zones reculees, la deforestation est souvent liee a des pratiques esclavagistes.
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  • Brazil, vitoria do xingu, para.<br />
<br />
Dans les annees 70, le plan de colonisation amazonien prevoit la construction de 2 grandes routes, l'une dans le sens est-ouest, la transamazonienne, l'autre dans le sens nord-sud, la Cuiaba Santarem. Il est prevu d'implanter le long des 2000 Km de chaque piste des agrovilles constituant des agropoles constituant elles memes des ruropolis.<br />
Le sol amazonien est brade, mais en depit d'une propagande omnipresente, la colonisation est un echec. Les cultures prevues de riz, haricots, maïs ou manioc sont rapidement deficitaires. De grands groupes investissent dans le foncier et constituent d'immenses domaines. L'elevage bovin se developpe de façon extensive. Il cree peu d'emplois et n'amene pas d'activite.<br />
Aujourd’hui, condamnees a l'autarcie, les agrovilles agonisent.<br />
Le transport fluvial reste le principal moyen de transport des biens et des personnes
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Quartier du port.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Architecture.
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  • Saint-Georges de l'Oyapock, Guyane, 2015.<br />
<br />
La commune de Saint-Georges s’étend sur 2320 km2 et doit son origine à la création d'un bagne dont il ne reste plus de trace. Ce camp construit en 1853 pour contenir la présence brésilienne est une des pires expériences de la déportation guyanaise. Du fait des maladies tropicales, c’est un des bagnes où la mortalité est la plus forte. Face à l'hécatombe, on y envoie les condamnés d'origine africaine jugés plus résistants. Bien sur le taux de mortalité ne faiblit pas et le camp est fermé en 1863. Après la découverte d'or en 1885, Saint-Georges se repeuple et devient un camp de base pour l’orpaillage. La commune de Saint-Georges de l'Oyapock est officiellement créée en 1946.<br />
<br />
Au début des années 2000, Saint-Georges est un village créole totalement enclavé, tourné vers le Brésil, accessible par une piste commandée par l’État à la légion et desservie par des taxis clandestins locaux, c’est à dire brésiliens. Une liaison aérienne irrégulière permet d’effectuer les déplacements vers Cayenne, la capitale. L’ouverture de la Route Nationale 2 permet de rallier le littoral en 3 heures depuis 2003, l'aérodrome n'est plus utilisé que par les hélicoptères desservant le centre de santé. Jusque-là très isolée, Saint-Georges a développé une stratégie sociale, économique et culturelle structurée par le fleuve, véritable communauté de vie pour ses riverains qui parlent à la fois brésilien et français, créole et amérindien.<br />
<br />
La bourgade ouvre l’oeil deux fois par jour : quand les écoliers sortent à 13h30 et quand les deux bars restaurants se réveillent à 18h. Entre temps, rien. Ou presque. Le 7 de chaque mois, au moment du versement des prestations sociales, St Georges s’anime. Pendant 48h, les commerçants sortent leurs ardoises, le distributeur d’argent s’essouffle et les cadavres de Heineken s’accumulent. Sur la place, les buveurs de rhum de l’administration publique pestent contre les buveurs de bière demandeurs d’emploi.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Entree dans la favela de Sao Raimundo.Le courant du fleuve accumule ici les dechets de surface de l'agglomeration rejetés dans les eaux du port.
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  • Brazil, Amazonas, Eldorado do Juma.<br />
<br />
Grota velha, curutela (camp de base).<br />
Eldorado do Juma est maintenant un bidonville de plastique noir et de misere croissante sur la rive du fleuve, qui attire les prospecteurs. Des centaines d'hommes y creusent la boue sur leurs petites parcelles delimitees par des branchages et des ficelles. A la fin du jour, les plus chanceux auront trouve quelques poussieres d'or, vendues ensuite 40 reals le gramme (14,5 euros) a Apui, 65km au nord. Les plus riches du coin sont ceux et celles qui cuisinent, nettoient ou divertissent les mineurs.<br />
Dans ce camp on denombre plusieurs restaurants, des epiceries, deux discotheques, quelques bars ou les demoiselles soulagent les hommes, deux pharmacies et une loterie dans laquelle on peut venir miser le gain de la journee.
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  • Brazil, Lourenco, amapa.
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  • Ardoyne, quartier catholique, Nord-Belfast.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Entree dans la favela de Sao Raimundo.Le courant du fleuve accumule ici les dechets de surface de l'agglomeration rejetés dans les eaux du port.
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  • Brazil, Ressaca, rio Xingu, Para.<br />
<br />
Ressaca, colonie de garimpeiros.
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  • Brazil, Altamira, Para.<br />
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Le plan de colonisation amazonien commence au debut des années 70.Il prevoit la construction de 2 grandes routes, l'une dans le sens est-ouest, la transamazonienne, l'autre dans le sens nord-sud, la Cuiaba-Santarem. Il est prevu d'implanter le long des 2000 Km de chaque piste des agrovilas regroupant 100 a 300 familles et des agropolis de 3000 habitants.<br />
Deux ou trois agropolis etendues sur une distance moyenne de 140 Km devront constituer des ruropolis.<br />
Trois regions pilotes sont retenues, Maraba, Itaituba et Altamira.<br />
Le sol amazonien est brade, mais en depit d'une propagande omnipresente, la colonisation est un echec. <br />
Avec l'arrivee au pouvoir du dernier president militaire, a partir des années 80 la politique du developpement par la mine succede a celle du developpement par le boeuf. La croissance des pays industrialises entraine alors une augmentation de la demande en minerais. Les bidonvilles de western tropical fixent durablement les garimpeiros le long des filons de l'amazone et de ses affluents. Ce type de developpement sert maintenant de modele aux compagnies forestieres qui s'engouffrent dans l'exploitation du bois amazonien. Les pionniers de l'eldorado survivent aujourd'hui en autarcie autour des agrovilles du projet de colonisation.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port.
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  • Fin de défilé pour deux sujets de la couronne britannique, Sandy Row, Belfast.
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  • Saint-Georges de l'Oyapock, Guyane, 2015.<br />
<br />
La commune de Saint-Georges s’étend sur 2320 km2 et doit son origine à la création d'un bagne dont il ne reste plus de trace. Ce camp construit en 1853 pour contenir la présence brésilienne est une des pires expériences de la déportation guyanaise. Du fait des maladies tropicales, c’est un des bagnes où la mortalité est la plus forte. Face à l'hécatombe, on y envoie les condamnés d'origine africaine jugés plus résistants. Bien sur le taux de mortalité ne faiblit pas et le camp est fermé en 1863. Après la découverte d'or en 1885, Saint-Georges se repeuple et devient un camp de base pour l’orpaillage. La commune de Saint-Georges de l'Oyapock est officiellement créée en 1946.<br />
<br />
Au début des années 2000, Saint-Georges est un village créole totalement enclavé, tourné vers le Brésil, accessible par une piste commandée par l’État à la légion et desservie par des taxis clandestins locaux, c’est à dire brésiliens. Une liaison aérienne irrégulière permet d’effectuer les déplacements vers Cayenne, la capitale. L’ouverture de la Route Nationale 2 permet de rallier le littoral en 3 heures depuis 2003, l'aérodrome n'est plus utilisé que par les hélicoptères desservant le centre de santé. Jusque-là très isolée, Saint-Georges a développé une stratégie sociale, économique et culturelle structurée par le fleuve, véritable communauté de vie pour ses riverains qui parlent à la fois brésilien et français, créole et amérindien.<br />
<br />
La bourgade ouvre l’oeil deux fois par jour : quand les écoliers sortent à 13h30 et quand les deux bars restaurants se réveillent à 18h. Entre temps, rien. Ou presque. Le 7 de chaque mois, au moment du versement des prestations sociales, St Georges s’anime. Pendant 48h, les commerçants sortent leurs ardoises, le distributeur d’argent s’essouffle et les cadavres de Heineken s’accumulent. Sur la place, les buveurs de rhum de l’administration publique pestent contre les buveurs de bière demandeurs d’emploi.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
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Entree dans la favela de Sao Raimundo.
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  • Patrouille quotidienne du RUC dans Ardoyne, Nord-Belfast.
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  • Dans chaque quartier le mirador d'une caserne du RUC veille sur les habitants de Belfast, Ardoyne.
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  • Campagne pour le référendum, Belfast.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Port de Manaus. Les piroguiers chargent et dechargent les passagers en transit.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque est avant tout une ville de passage pour les garimpeiros bresiliens qui viennent chercher du travail sur le sol guyanais et sert de base d'approvisionnement a cette activite clandestine. Au moment du reglement des prestations sociales, les populations amerindiennes guyanaise affluent en ville pour s'approvisionner.<br />
La construction d'un pont devrait prochainement permettre le passage du fleuve oyapock et relier le Bresil au departement francais.
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  • Des Orangistes font le siège de Portadown. Pendant une semaine ils bloquent l'accès de la ville et s'affrontent aux forces britanniques qui les empêchent de traverser la ville.
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  • Des Orangistes font le siège de Portadown. Pendant une semaine ils bloquent l'accès de la ville et s'affrontent aux forces britanniques qui les empêchent de traverser la ville.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
<br />
Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Route Nationale 2, Guyane, 2015.<br />
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Le réseau routier guyanais, peu développé, est apparu dans les années 1970. Principalement constitué d’un axe de près de 450 km (RN1/RN2, il relie Saint Laurent du Maroni à Saint-Georges de l’Oyapock, ou plus globalement reliant les frontières respectives du Suriname à l’Ouest et du Brésil à l’Est.<br />
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Les routes traversent maintenant les grands fleuves guyanais sur des ponts impressionnants. Avant leur récente construction, des bacs transportaient les personnes, marchandises et véhicules d'une rive à l'autre le long de la piste. D'abord exclusivement situé sur le littoral, le réseau est constitué par la seule la Route Nationale 1 et dessert les zones les plus peuplées : Cayenne, Kourou et Saint Laurent du Maroni. <br />
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La construction en 2003 d’un pont qui traverse l’Approuague à Régina permet le désenclavement de l’Est guyanais avec la construction de la Route Nationale 2 qui relie Cayenne à Saint-Georges de l'Oyapock. Terminée en 2005, en saison des pluies la route subit une dégradation continuelle et plusieurs portions sont régulièrement impraticables.<br />
Prolongée par la BR-156 jusqu’à Macapa sur le delta de l’Amazone, la RN2 rejoindra Oiapoque, ville brésilienne frontalière qui fait face à Saint-Georges, lorsque le pont sur l'Oyapock sera inauguré. Terminé depuis trois ans, il n’est toujours pas ouvert à la circulation, après plusieurs annonces, plus aucune date d’inauguration n’est officiellement retenue.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Saint-Georges de l'Oyapock, Guyane, 2015.<br />
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Saint-Georges de l’Oyapock est un Chef-lieu de canton de 4000 habitants à la frontière Est du département au bord du fleuve Oyapock, à 190 Km de Cayenne soit 3 heure en taxi collectif et 10 minutes de pirogue d’Oiapoque sur la rive brésilienne. <br />
Les riverains sont ici géographiquement, mais aussi culturellement et économiquement plus proches de la berge opposée que de leurs capitales régionales. Les différentes communautés locales, amérindiennes, créoles ou brésiliennes admettent difficilement les réalités de la frontière et vivent indifféremment sur la rive droite ou la rive gauche du fleuve.<br />
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Un pont a été construit entre les deux rives. Terminé depuis trois ans, il n’est toujours pas mis en service mais sa prochaine ouverture transforme cette zone de libre passage en zone douanière. Les services français de police et de gendarmerie y ont augmenté de manière significative leurs effectifs pour contrôler cette « nouvelle » frontière.<br />
Oiapoque, la ville jumelle brésilienne, compte cinq fois plus d’habitants mais avec un salaire minimum quatre fois moins élevé. Chaque jour, attirés par les gisements aurifères et les salaires guyanais, des dizaines de brésiliens passent clandestinement par le fleuve pendant que les touristes guyanais partent se ravitailler à moindre coût sur la rive brésilienne du fleuve.
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  • Brazil, rio oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
  <br />
Ilha do sol, "l'ile du soleil". D'un cote de l'ile la Guyane, de l'autre le Bresil.<br />
St Georges est un des gros points de passage de l'immigration clandestine entre les 2 pays. Le bourg a su en tirer parti et l'economie souterraine a largement profitee a ses habitants. Creoles, amerindiens et bresiliens s'y cotoient.<br />
Oiapoque, sur la rive bresilienne, est avant tout une ville de passage pour les garimpeiros qui viennent chercher du travail sur le sol guyanais et sert de base d'approvisionnement a cette activite clandestine. Quand les militaires francais investissent une zone d'activite aurifere guyanaise, l'économie d'Oiapoque s'arrete. <br />
La construction d'un pont devrait prochainement permettre le passage du fleuve.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Colombie, Amazonas, Leticia. <br />
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La ville aux trois frontières : Bresil, Perou et Colombie. Taxi pirogue.
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  • Brazil, Santana, rio Amazonas, Amapa.<br />
<br />
Santana, port a l'embouchure du fleuve, dessert les principales villes de l'Amazone et constitue un carrefour de l'immigration clandestine vers les chantiers auriferes de Guyane ou du Surinam.
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  • Guyane française, Maripasoula, Haut-Maroni.<br />
<br />
Pole economique du Haut-Maroni pour certains, tiers-monde de la republique pour d'autres. <br />
Plus vaste "commune" de France : 3 600 habitants sur un rayon de 150 km, coincee entre la foret amazonienne et le Maroni, fleuve frontiere du Surinam. A l’exception des services departementaux et municipaux, l'orpaillage avec ses metiers derives represente la seule source d’activite. <br />
Maripasoula marque la limite entre le pays bosch (1) et le pays amerindien Wayana.<br />
L'approvisionnement vient du Surinam, sur la rive opposee ou des villes du littoral, St Laurent ou Cayenne.<br />
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(1) Pays boni. Majoritaires sur le fleuve, les Bonis ou Bushinengues - composes de quatre ethnies, les Alukus (a Maripasoula), les Djukas (plus au nord), les Paramakas et les Saramakas - sont des Noir marrons descendants d'Africains ayant vecu en autarcie dans la foret amazonienne, de chaque cote du Maroni.
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  • Fenrch guyana, maripasoula, maroni.<br />
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Pole economique du Haut-Maroni pour certains, tiers-monde de la republique pour d'autres. <br />
Plus vaste "commune" de France : 3 600 habitants sur un rayon de 150 kilometres, coincee entre la foret amazonienne et le Maroni, fleuve frontiere du Surinam. A l’exception des services departementaux et municipaux, l'orpaillage avec ses metiers derives represente la seule source d’activite. <br />
Maripasoula marque la limite entre le pays bosch (noir marron) et le pays amerindien wayana.<br />
L'approvisionnement vient du Surinam, sur la rive opposee ou des villes du littoral, St Laurent ou Cayenne.
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  • French guiana, ipoussing.<br />
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Exploitation aurifere. Garimpeiro. Les favelas de certaines villes bresiliennes (Macapa, Belem ou Manaus entre autre) constituent un reservoir de main d’oeuvre peu exigeante de ses conditions de travail pour les chantiers guyanais. Les hommes sont payes au pourcentage et peuvent passer plusieurs mois sans sortir de foret. Ils sont rompus a ce mode de vie et travaillent indifferement pour des employeurs officiels ou clandestins.
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