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Christophe GIN

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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Dockers sans abris.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Fatigue, un marin en transit dort sur une table de billard.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Debit de boisson.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Dockers.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus.<br />
<br />
Nettoyage des eaux du rio Negro et du rio Solimoes. Chaque jour, le Genesis recupere les dechets de surface de l'agglomeration rejetes dans les eaux du port.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Quartier du port. Recuperation, cet homme ramasse les cannettes en fer pour les vendre au poids.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Journee de travail terminee, un docker roule un joint de cocaine.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, mutirao de Cacau.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Des dockers sans abris assistent à la telenovela.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Plage sauvage face à Manaus.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Entree dans la favela de Sao Raimundo.Le courant du fleuve accumule ici les dechets de surface de l'agglomeration rejetés dans les eaux du port.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Docker.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Dockers.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Entree de la favela Sao Raimundo.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Evangelistes.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, mutirao de Cacau, boucherie.
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  • Brazil, Amazonas, rio Amazonas. Transport fluvial.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Port flottant.
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  • Brésil, Amazonas, rio Amazonas.<br />
<br />
Bateau, principal moyen de transport entre deux communautes le long de l'Amazone.
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  • Brésil, Amazonas, rio Amazonas. Un producteur de bananes s'ammarre au passage d'un bateau pour livrer sa recolte qui sera transportée et vendue à Manaus.
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  • Brésil, Amazonas, rio Negro, Manaus.
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  • Brésil, Amapa.<br />
  <br />
Ilha do sol, "l'ile du soleil". D'un cote de l'ile la Guyane, de l'autre le Bresil.
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  • Saint-Georges de l'Oyapock, Guyane, 2015. <br />
 <br />
Vue sur le quartier de l'invasion, extension d'Oiapoque face à Saint-Georges. Fleuve frontière et voie de communication naturelle entre les deux pays, l’Oyapock sépare la Guyane du Brésil. Ici, les riverains sont géographiquement, mais aussi culturellement ou économiquement plus proches de la rive opposée que de leurs capitales régionales. La France et le Brésil travaillent pourtant à l’achèvement d’une liaison routière qui reliera de façon terrestre la Guyane française à l’État brésilien de l’Amapà et plus globalement l’Union Européenne au Mercosul.
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  • Brésil, Amazonas, Parintins. Caprichoso, le boeuf des notables. La rivalite historique entre les Bœufs Garantido et Caprichoso impregne les murs et les ames. Chaque annee a la fin du mois de juin, il est imperatif de choisir son camp. Au cœur de l’Amazonie, a 400 km au sud-est de Manaus, Parintins vibre pour un evenement qui attire plusieurs dizaines de milliers de personnes venus de tout le pays : le Boi-Bumba.
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  • Brésil, Para, rio Tapajos. Communauté d'agriculteurs.
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  • Brésil, Amazonas, Parintins.
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  • Brésil, Amazonas, Parintins. Bar.
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  • Brésil, Amazonas, Parintins. Au troisieme jour du carnaval amazonien, les equipes sont evaluees par une douzaine de juges qui notent la meilleure musique, le plus beau bœuf, les meilleurs supporters, les plus beaux costumes et les allegorie les plus inventives. A l’issue du 43eme festival, le Caprichoso obtient 867,1 points, le Garantido n’en totalise que 837,1. Pour la deuxieme annee consecutive les bleus sont vainqueurs.
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  • Saint-Georges de l'Oyapock, Guyane, 2015. <br />
 <br />
Vue sur le quartier de l'invasion, extension d'Oiapoque face à Saint-Georges. Fleuve frontière et voie de communication naturelle entre les deux pays, l’Oyapock sépare la Guyane du Brésil. Ici, les riverains sont géographiquement, mais aussi culturellement ou économiquement plus proches de la rive opposée que de leurs capitales régionales. La France et le Brésil travaillent pourtant à l’achèvement d’une liaison routière qui reliera de façon terrestre la Guyane française à l’État brésilien de l’Amapà et plus globalement l’Union Européenne au Mercosul.
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  • Brésil, Amazonas, Parintins. Situee au cœur de l’Amazonie a 400 km au sud-est de Manaus, Parintins petite ile de pecheurs et d'eleveurs de boeuf, attire chaque annee a la fin du mois de juin plusieurs dizaines de milliers de personnes venus de tout le pays pour une des fetes les plus spectaculaires du Brésil : Le Boi-Bumba, le carnaval amazonien.
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  • Vila Brasil, Brésil, 2015.<br />
<br />
Camopi fait face à Vila Brasil situé sur une presqu’ile de la rive opposée de l’Oyapock. Ce village brésilien à l’origine clandestin, sans aucune structure administrative est devenu un district d’Oiapoque depuis 2011. Il n’y pas d’eau courante et pas de route d’accès. Pourtant, ses habitants ont créé leur propre système qui fonctionne parfaitement et parfois mieux qu’à Camopi. Contrairement au bourg guyanais où il n’y a rien, ici on trouve tout ce qu’il faut.<br />
<br />
Construit dans un premier temps pour alimenter les sites d’orpaillages illégaux, ce comptoir vit maintenant de l’argent dépensé par les Amérindiens de la commune et s’endort entre deux périodes d’allocation. Le fret arrive alors quotidiennement d’Oiapoque par pirogue, les commerces et les restaurants font le plein.<br />
<br />
L’argent des amérindiens d’abord dépensé pour les fournitures scolaires et les vêtements des enfants est ensuite surtout destiné à l’achat d’alcools divers, de nourriture en boite et d’objets de pacotille exotiques à des tarifs dignes de la prohibition. Certains vont même jusqu’à vendre du poisson ou du gibier aux amérindiens.<br />
<br />
Les habitants du bourg viennent s’y approvisionner et s’y enivrer en voisins, ceux des villages distants, après avoir fait le plein de produits de première nécessité y résident quelques jours, le temps de dépenser leurs salaires, avant de repartir titubants vers leurs pirogues.
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  • Vila Brasil, Brésil, 2015.<br />
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Camopi fait face à Vila Brasil situé sur une presqu’ile de la rive opposée de l’Oyapock. Ce village brésilien à l’origine clandestin, sans aucune structure administrative est devenu un district d’Oiapoque depuis 2011. Il n’y pas d’eau courante et pas de route d’accès. Pourtant, ses habitants ont créé leur propre système qui fonctionne parfaitement et parfois mieux qu’à Camopi. Contrairement au bourg guyanais où il n’y a rien, ici on trouve tout ce qu’il faut.<br />
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Construit dans un premier temps pour alimenter les sites d’orpaillages illégaux, ce comptoir vit maintenant de l’argent dépensé par les Amérindiens de la commune et s’endort entre deux périodes d’allocation. Le fret arrive alors quotidiennement d’Oiapoque par pirogue, les commerces et les restaurants font le plein.<br />
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L’argent des amérindiens d’abord dépensé pour les fournitures scolaires et les vêtements des enfants est ensuite surtout destiné à l’achat d’alcools divers, de nourriture en boite et d’objets de pacotille exotiques à des tarifs dignes de la prohibition. Certains vont même jusqu’à vendre du poisson ou du gibier aux amérindiens.<br />
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Les habitants du bourg viennent s’y approvisionner et s’y enivrer en voisins, ceux des villages distants, après avoir fait le plein de produits de première nécessité y résident quelques jours, le temps de dépenser leurs salaires, avant de repartir titubants vers leurs pirogues.
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  • Vila Brasil, Brésil, 2015.<br />
<br />
Camopi fait face à Vila Brasil situé sur une presqu’ile de la rive opposée de l’Oyapock. Ce village brésilien à l’origine clandestin, sans aucune structure administrative est devenu un district d’Oiapoque depuis 2011. Il n’y pas d’eau courante et pas de route d’accès. Pourtant, ses habitants ont créé leur propre système qui fonctionne parfaitement et parfois mieux qu’à Camopi. Contrairement au bourg guyanais où il n’y a rien, ici on trouve tout ce qu’il faut.<br />
<br />
Construit dans un premier temps pour alimenter les sites d’orpaillages illégaux, ce comptoir vit maintenant de l’argent dépensé par les Amérindiens de la commune et s’endort entre deux périodes d’allocation. Le fret arrive alors quotidiennement d’Oiapoque par pirogue, les commerces et les restaurants font le plein.<br />
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L’argent des amérindiens d’abord dépensé pour les fournitures scolaires et les vêtements des enfants est ensuite surtout destiné à l’achat d’alcools divers, de nourriture en boite et d’objets de pacotille exotiques à des tarifs dignes de la prohibition. Certains vont même jusqu’à vendre du poisson ou du gibier aux amérindiens.<br />
<br />
Les habitants du bourg viennent s’y approvisionner et s’y enivrer en voisins, ceux des villages distants, après avoir fait le plein de produits de première nécessité y résident quelques jours, le temps de dépenser leurs salaires, avant de repartir titubants vers leurs pirogues.
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  • Brésil, Amazonas, Parintins. Trophe. Situee au cœur de l’Amazonie a 400 km au sud-est de Manaus, Parintins petite ile de pecheurs et d'eleveurs de boeuf, attire chaque annee a la fin du mois de juin plusieurs dizaines de milliers de personnes venus de tout le pays pour une des fetes les plus spectaculaires du Brésil : Le Boi-Bumba, le carnaval amazonien.
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  • Brazil, Amazonas, Eldorado do Juma.<br />
<br />
Piste Apui / Novo Aripuana, km 65. Entree du garimpo (mine d'or) Eldorado do Juma.<br />
Une piste de 265 km a tracers fazendas (grandes proprietes agricoles) relient  la petite localite agricole ou a ete localise un filon d'or aux rives du rio Madeira et permet le passage du fret et des hommes.
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  • Brazil, Santana, rio Amazonas, Amapa.<br />
<br />
Santana, port a l'embouchure du fleuve, dessert les principales villes de l'Amazone et constitue un carrefour de l'immigration clandestine vers les chantiers auriferes de Guyane ou du Surinam.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Quartier du port. Igarape dos educandos.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
<br />
Oiapoque est avant tout une ville de passage pour les garimpeiros bresiliens qui viennent chercher du travail sur le sol guyanais et sert de base d'approvisionnement a cette activite clandestine. Au moment du reglement des prestations sociales, les populations amerindiennes guyanaise affluent en ville pour s'approvisionner.<br />
La construction d'un pont devrait prochainement permettre le passage du fleuve oyapock et relier le Bresil au departement francais.
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  • Brazil, rio amazonas, amzonas.
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  • Brazil, oiapoque, amapa.<br />
<br />
Transport de bœufs. Grignotee par la culture du soja et les elevages bovins, l'amazonie bresilienne aurait perdu 16,3% de sa superficie forestiere depuis les années 1970.
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  • Brazil, Laje Velho, Peuple Oro Wari, Rondonia.<br />
<br />
<br />
Les contacts entre indiens et colons remontent aux annees 40 dans le Rondonia mais pour certains peuples, le contact avec la societe bresilienne remonte a une dizaine d'annees, d'autres ne sont toujours pas decouverts.<br />
L'application de la constitution bresilienne de 1988 qui garantie a chaque peuple la demarcation de sa terre traditionnelle se heurte a l'occupation des sols par les colons et pose le probleme de la reconnaissance identitaire.<br />
L'autonomie des peuples indigenes connait un nouvel essor avec la resurgence d'ethnies considerees disparues. A Laje Velho, un clan s'est reforme pour reinvestir une terre ancestrale.<br />
Il reste 9 peuples sans contact dans l’etat du Rondonia.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Entree dans la favela de Sao Raimundo. Le courant du fleuve accumule ici les dechets rejetes dans les eaux du port.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
<br />
Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
<br />
Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Dockers sans abris.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Port flottant.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Marche aux bananes.
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  • Brazil, Amazonas, Tabatinga. Frontiere entre bresil, perou et colombie.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus.
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  • Brazil, Amazonas, rio Amazonas.
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  • Brazil, Amazonas, Parintins. Situee au cœur de l’Amazonie a 400 km au sud-est de Manaus, Parintins petite ile de pecheurs et d'eleveurs de boeuf, attire chaque annee a la fin du mois de juin plusieurs dizaines de milliers de personnes venus de tout le pays pour une des fetes les plus spectaculaires du Brésil : Le Boi-Bumba, le carnaval amazonien. A l’issue du 43eme festival, les bleus sont vainqueurs pour la deuxieme annee consecutive .
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  • Brazil, Amazonas, Parintins. Situee au cœur de l’Amazonie a 400 km au sud-est de Manaus, Parintins petite ile de pecheurs et d'eleveurs de boeuf, attire chaque annee a la fin du mois de juin plusieurs dizaines de milliers de personnes venus de tout le pays pour une des fetes les plus spectaculaires du Brésil : Le Boi-Bumba, le carnaval amazonien.
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  • Brazil, Amazonas, Eldorado do Juma.<br />
<br />
Grota rica, garimpeiros.<br />
Eldorado do Juma est maintenant un bidonville de plastique noir et de misere croissante sur la rive du fleuve, qui attire les prospecteurs. Des centaines d'hommes y creusent la boue sur leurs petites parcelles delimitees par des branchages et des ficelles. A la fin du jour, les plus chanceux auront trouve quelques poussieres d'or, vendues ensuite 40 reals le gramme (14,5 euros) a Apui, 65km au nord. Les plus riches du coin sont ceux et celles qui cuisinent, nettoient ou divertissent les mineurs.<br />
Il y a trop de prospecteurs pour la teneur du filon, du coup les garimpeiros s’eparpillent sur une surface qui couvre plus de 40 hectares. Tous les mineurs dependent de l'autorisation d'une cooperative de proprietaires pour travailler. Ces proprietaires ne possedent pourtant pas de titre foncier pour justifier leur etat, ils sont simplement arriver les premiers sur les parcelles : c'est la loi de l'or.<br />
Quatre mois apres le debut de cette ruee, la plupart du minerai qui peut etre extrait manuellement a ete trouve, les mineurs qui restent sont les survivants de la rumeur. Ils n'ont souvent plus rien et esperent seulement trouver de quoi payer le voyage pour aller tenter leur chance vers d'autres terres promises.
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  • Brazil, Amazonas, Eldorado do Juma.<br />
<br />
Grota velha, garimpeiros.<br />
Eldorado do Juma est maintenant un bidonville de plastique noir et de misere croissante sur la rive du fleuve, qui attire les prospecteurs. Des centaines d'hommes y creusent la boue sur leurs petites parcelles delimitees par des branchages et des ficelles. A la fin du jour, les plus chanceux auront trouve quelques poussieres d'or, vendues ensuite 40 reals le gramme (14,5 euros) a Apui, 65km au nord. Les plus riches du coin sont ceux et celles qui cuisinent, nettoient ou divertissent les mineurs.<br />
Il y a trop de prospecteurs pour la teneur du filon, du coup les garimpeiros s’eparpillent sur une surface qui couvre plus de 40 hectares. Tous les mineurs dependent de l'autorisation d'une cooperative de proprietaires pour travailler. Ces proprietaires ne possedent pourtant pas de titre foncier pour justifier leur etat, ils sont simplement arriver les premiers sur les parcelles : c'est la loi de l'or.<br />
Quatre mois apres le debut de cette ruee, la plupart du minerai qui peut etre extrait manuellement a ete trouve, les mineurs qui restent sont les survivants de la rumeur. Ils n'ont souvent plus rien et esperent seulement trouver de quoi payer le voyage pour aller tenter leur chance vers d'autres terres promises.
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  • Brazil, Amazonas, Eldorado do Juma.<br />
<br />
Grota velha, curutela (camp de base).<br />
Eldorado do Juma est maintenant un bidonville de plastique noir et de misere croissante sur la rive du fleuve, qui attire les prospecteurs. Des centaines d'hommes y creusent la boue sur leurs petites parcelles delimitees par des branchages et des ficelles. A la fin du jour, les plus chanceux auront trouve quelques poussieres d'or, vendues ensuite 40 reals le gramme (14,5 euros) a Apui, 65km au nord. Les plus riches du coin sont ceux et celles qui cuisinent, nettoient ou divertissent les mineurs.<br />
Il y a trop de prospecteurs pour la teneur du filon, du coup les garimpeiros s’eparpillent sur une surface qui couvre plus de 40 hectares.
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  • Brazil, Altamira, Para.<br />
<br />
Le plan de colonisation amazonien commence au debut des années 70.Il prevoit la construction de 2 grandes routes, l'une dans le sens est-ouest, la transamazonienne, l'autre dans le sens nord-sud, la Cuiaba-Santarem. Il est prevu d'implanter le long des 2000 Km de chaque piste des agrovilas regroupant 100 a 300 familles et des agropolis de 3000 habitants.<br />
Deux ou trois agropolis etendues sur une distance moyenne de 140 Km devront constituer des ruropolis.<br />
Trois regions pilotes sont retenues, Maraba, Itaituba et Altamira.<br />
Le sol amazonien est brade, mais en depit d'une propagande omnipresente, la colonisation est un echec. <br />
Avec l'arrivee au pouvoir du dernier president militaire, a partir des années 80 la politique du developpement par la mine succede a celle du developpement par le boeuf. La croissance des pays industrialises entraine alors une augmentation de la demande en minerais. Les bidonvilles de western tropical fixent durablement les garimpeiros le long des filons de l'amazone et de ses affluents. Ce type de developpement sert maintenant de modele aux compagnies forestieres qui s'engouffrent dans l'exploitation du bois amazonien. Les pionniers de l'eldorado survivent aujourd'hui en autarcie autour des agrovilles du projet de colonisation.
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  • Brazil, vitoria do xingu, para.<br />
<br />
Dans les annees 70, le plan de colonisation amazonien prevoit la construction de 2 grandes routes, l'une dans le sens est-ouest, la transamazonienne, l'autre dans le sens nord-sud, la Cuiaba Santarem. Il est prevu d'implanter le long des 2000 Km de chaque piste des agrovilles constituant des agropoles constituant elles memes des ruropolis.<br />
Le sol amazonien est brade, mais en depit d'une propagande omnipresente, la colonisation est un echec. Les cultures prevues de riz, haricots, maïs ou manioc sont rapidement deficitaires. De grands groupes investissent dans le foncier et constituent d'immenses domaines. L'elevage bovin se developpe de façon extensive. Il cree peu d'emplois et n'amene pas d'activite.<br />
Aujourd’hui, condamnees a l'autarcie, les agrovilles agonisent.<br />
Le transport fluvial reste le principal moyen de transport des biens et des personnes
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
<br />
Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
<br />
Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, rio Tapajos, Para.<br />
<br />
L'exploitation de la foret est un formidable enjeu, aussi bien economique que strategique pour le Bresil aux prises avec un developpement erratique.<br />
Les scieries plus ou moins legales se succedent au bord des fleuves pour faciliter le transport des grumes de bois jusqu'a l'embouchure de l'Amazone. Elles deviennent le point d'encrage des communautes qui dependent de cette activite.
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  • Brazil, Ressaca, rio Xingu, Para.<br />
<br />
Ressaca, colonie de garimpeiros, Extraction souterraine. Les roches du sous sol sont eclatees a la masse puis remontees en surface ou elles sont broyees. La poudre obtenue est ensuite traitee par addiction de mercure pour obtenir un amalgame de paillettes d'or.
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  • Brazil, Altamira, Para.<br />
<br />
Le Para est l'etat le plus ravage par la deforestation, la confiscation des terres et l'esclavage.
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  • Brazil, rio Madeira, Rondonia.<br />
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Le developpement economique en dent-de-scie est caracteristique de l'Amazonie bresilienne. Apres une forte croissance due a l'exploitation de l'hevea , l'activite s'arrete. <br />
Jusqu'a la fin des annees 60, le Rondonia est a l'image de tous les autres territoires federaux : un immense vide forestier balise de rares communautees plantees au bord des fleuves et sillonne de tribus indiennes semi-nomades, de bandes de seringueiros et de chercheurs d'or ou de diamant. Sa population ne depasse pas 100 000 personnes. Dans les années 70, le Plan d'Integration Nationale introduit le Rondonia au nombre des zones de colonisation prioritaires. En 1990 le Rondonia compte 1,5 million d'habitants.
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  • Brazil, Ressaca, rio Xingu, Para.<br />
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Ravitaillement fluvial de la colonie miniere de Ressaca.
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  • Brazil, rio Amazonas, Amapa.<br />
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Transport fluvial. Le bateau reste le principal et souvent unique moyen de transport permettant de relier les differentes communautes le long de l'Amazone.
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  • Brazil, Br 156, amapa.<br />
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Six cents Km de piste en terre battue relient la frontière guyanaise depuis Oiapoque jusqu'à Macapa, sur l'embouchure de l'Amazone. <br />
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Unique axe de transport routier, la piste alimente la foret guyanaise en machines et en main-d'oeuvre clandestine.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Des dockers sans abris dorment sur les étals du port.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
<br />
Igarape dos educandos.
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  • Brazil, Amazonas, Parintins. Situee au cœur de l’Amazonie a 400 km au sud-est de Manaus, Parintins petite ile de pecheurs et d'eleveurs de boeuf, attire chaque annee a la fin du mois de juin plusieurs dizaines de milliers de personnes venus de tout le pays pour une des fetes les plus spectaculaires du Brésil : Le Boi-Bumba, le carnaval amazonien.
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  • Brazil, rio oiapoque, Amapa.<br />
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Ilha do sol, "l'ile du soleil". D'un cote de l'ile la Guyane, de l'autre le Bresil.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, Taparabu, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Taparabu, communaute de pecheurs dependant d'Oiapoque. Ecole.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, Oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion).
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Mur de boucherie.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Place de l'opera, detail du sol.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
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Quartier du port. Dockers.
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  • Brazil, Amazonas, rio Solimoes, Manaus.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Quartier du port. Igarape dos educandos, favela.
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  • Brazil, Amazonas, Eldorado do Juma.<br />
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Grota rica, garimpeiros.<br />
Eldorado do Juma est maintenant un bidonville de plastique noir et de misere croissante sur la rive du fleuve, qui attire les prospecteurs. Des centaines d'hommes y creusent la boue sur leurs petites parcelles delimitees par des branchages et des ficelles. A la fin du jour, les plus chanceux auront trouve quelques poussieres d'or, vendues ensuite 40 reals le gramme (14,5 euros) a Apui, 65km au nord. Les plus riches du coin sont ceux et celles qui cuisinent, nettoient ou divertissent les mineurs.<br />
Il y a trop de prospecteurs pour la teneur du filon, du coup les garimpeiros s’eparpillent sur une surface qui couvre plus de 40 hectares. Tous les mineurs dependent de l'autorisation d'une cooperative de proprietaires pour travailler. Ces proprietaires ne possedent pourtant pas de titre foncier pour justifier leur etat, ils sont simplement arriver les premiers sur les parcelles : c'est la loi de l'or.<br />
Quatre mois apres le debut de cette ruee, la plupart du minerai qui peut etre extrait manuellement a ete trouve, les mineurs qui restent sont les survivants de la rumeur. Ils n'ont souvent plus rien et esperent seulement trouver de quoi payer le voyage pour aller tenter leur chance vers d'autres terres promises.
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  • Brazil, Amazonas, Eldorado do Juma.<br />
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Grota rica, garimpeiro.<br />
Eldorado do Juma est maintenant un bidonville de plastique noir et de misere croissante sur la rive du fleuve, qui attire les prospecteurs. Des centaines d'hommes y creusent la boue sur leurs petites parcelles delimitees par des branchages et des ficelles. A la fin du jour, les plus chanceux auront trouve quelques poussieres d'or, vendues ensuite 40 reals le gramme (14,5 euros) a Apui, 65km au nord. Les plus riches du coin sont ceux et celles qui cuisinent, nettoient ou divertissent les mineurs.<br />
Il y a trop de prospecteurs pour la teneur du filon, du coup les garimpeiros s’eparpillent sur une surface qui couvre plus de 40 hectares. Tous les mineurs dependent de l'autorisation d'une cooperative de proprietaires pour travailler. Ces proprietaires ne possedent pourtant pas de titre foncier pour justifier leur etat, ils sont simplement arriver les premiers sur les parcelles : c'est la loi de l'or.<br />
Quatre mois apres le debut de cette ruee, la plupart du minerai qui peut etre extrait manuellement a ete trouve, les mineurs qui restent sont les survivants de la rumeur. Ils n'ont souvent plus rien et esperent seulement trouver de quoi payer le voyage pour aller tenter leur chance vers d'autres terres promises.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa. Un service de pirogues assure le passage du fleuve qui separe la Guyane du Bresil.
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  • Brazil, Ressaca, rio Xingu, Para.<br />
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Ressaca, colonie de garimpeiros, Extraction souterraine. Les roches du sous sol sont eclatees a la masse puis remontees en surface ou elles sont broyees. La poudre obtenue est ensuite traitee par addiction de mercure pour obtenir un amalgame de paillettes d'or.
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  • Brazil, rio branco, amazonas.<br />
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La faillite de l'agriculture sur des sols peu fertiles a deja pousse les colons a se recycler dans l'orpaillage. A present, l'elevage bovin et la culture de soja se developpent de façon extensive, accelerant la deforestation.
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  • Brazil, gurupa, para.<br />
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Scierie. Les scieries plus ou moins legales se succedent au bord des fleuves pour faciliter le transport des grumes de bois jusqu'a l'embouchure de l'amazone. Elles deviennent le point d'encrage des communautes qui dependent de cette activite. L'etat du Para a subi les plus graves impacts de cette exploitation forestiere. Dans les zones reculees, la deforestation est souvent liee a des pratiques esclavagistes.
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  • Brazil, oiapoque, frontiere franco-bresilienne, Amapa.<br />
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Communidade Vitoria do Oiapoque, bairro invasao, (quartier de l'invasion). En janvier 2005 la mairie de St Georges expulse les clandestins bresiliens du quartier Savane, 40 familles qui decident alors de s'installer sur la rive opposee et envahissent une terre reservee aux populations amerindiennes, a 10 minutes de pirogue du sol guyanais, sur la rive bresilienne. <br />
Sur la colline maintenant rasee, la colonie nouvellement installee batie une ville champigon de 1500 habitations. <br />
Un pont permettra bientot une liaison routiere entre la Guyane et le Bresil, les habitants du quartier de l'invasion veulent etre pret pour profiter de l'activite economique qu'il amera.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Brazil, Br 156, amapa.<br />
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Six cents Km de piste en terre battue relient Macapa sur l'embouchure de l'amazone a Oiapoque a la frontiere guyanaise.<br />
Unique axe de transport routier, la piste alimente les mines de guyane en machines et en main-d'oeuvre clandestine.
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  • Brazil, lourenco, amapa.<br />
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Lavage au mercure.<br />
Les gravats extraits sont broyes puis laves. On ajoute du mercure pour ne conserver que les particules les plus denses, le reste est evacue. Apres vient la phase de cuisson. L'amalgame est chauffe, le mercure s'evapore ne laissant que l'or debarrasse de ses impuretes.<br />
En se redeposant, le mercure pollue durablement les sous-sols et les fleuves.
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  • Brazil, Oiapoque, Amapa.<br />
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Oiapoque, est le dernier point de passage bresilien d’une prostitution plus ou moins organisee vers la Guyane française.<br />
Pendant que les hommes partent faire les garimpeiros en foret, les jeunes femmes viennent tenter leur chance à la frontiere guyanaise. Elles font le bonheur des garimpeiros venus vendre leur or en ville.
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  • Brazil, transamazonica, para.<br />
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Medicilandia, km 90 de la transamazonienne.<br />
Fierte du regime militaire, la transamazonienne n'est plus praticable aujourd'hui que sur la moitie de son parcours. Debutee en 70, son role "integrateur" doit permettre l'occupation de l'Amazonie et l'ouverture de territoires pionniers destines aux populations pauvres.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Igarape dos Educandos, recuperation des dechets de l'agglomeration rejetes dans les eaux du port.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. Entree de la favela Sao Raimundo.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
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Igarape dos educandos.
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  • Brazil, Amazonas, rio Negro, Manaus. <br />
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Quartier du port.
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